Masque et déshumanisation

Comme je le disais dans un précédent article, les « mesures de distanciation sociale » (expression grotesque forgée par la novlangue technocratique de l’Ennemi), font que les humains le sont de moins en moins, humains.

Les zélites qui visent à instaurer le gouvernement mondial ont en effet décidé de domestiquer une bonne fois pour toute le « bétail » infra-humain que sont devenus tous ces peuples au QI d’huîtres, affolés par la mort certaine due à la terrible grippette dite covid19. Laquelle a fait 26000 morts en France (dont au moins 96% morts de « totalement autre chose »), ce qui nous donne une mortalité générale sur l’ensemble de la population française de 0,038% ! Bigre, il y a certes de quoi paniquer.

Déjà la perte de tout sens religieux avait quasiment rabaissé les hommes athées au niveau des bêtes. A présent, c’est le pire qui s’annonce, avec la culture naissante du « chacun est l’ennemi de tous ».

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l’air con et la vue basse…

Que penser de gens qui dissimulent la majeure partie de leur visage derrière un bout de tissu ?

Premièrement, qu’ils ont quelque chose à cacher : on dérobe à l’autre ce qu’on pense, ce qu’on ressent. Le masque cache le sourire comme le rictus, et seuls les yeux restent pour exprimer, peut-être, quelque chose. Or les yeux des contemporains sont souvent vides, vides d’intelligence comme de vertu, hélas. Les yeux sont une fenêtre sur l’âme dit-on, et l’âme des 98% de la population est vautrée dans la fange, dans le péché mortel : soyons sérieux, quel pourcentage de Français est habituellement en état de grâce ? Avec le masque, il n’y a même plus le sourire, fut-il futile et superficiel, pour « tempérer » cette impression de plongeon dans un dépotoir d’âme.

Deuxièmement, que ces gens sont perdus, dans tous les sens du terme. Ils ont perdu leur humanité comme on vient de le dire. Ils ont tout d’abord perdu toute capacité de raisonner, qui est le propre exclusif de l’homme entre toutes les créatures ayant un corps. Ils ont perdu leur âme, même si cela faisait déjà longtemps, malheureusement, mais disons que ça se remarque de plus en plus, à cause de la muselière.

Le résultat est glaçant, n’importe quel catholique normalement constitué prendra la fuite devant ces automates débiles portant fièrement leur masque ridicule et attendant avec impatience le « vaccinage », puçage, abattage.

Pour le coup, c’est le moment d’avoir peur, peur à la vue apocalyptique de ces hordes de cons, d’automates, de relents d’humanité complètement dégénérés car ne possédant même plus l’instinct de survie que nous avons en commun avec les animaux !

Oui, je me sentirais plus en sécurité parmi des animaux, qui au moins auront des réactions saines, que parmi ces tarés fin prêts pour l’adoration de l’antéchrist…

D’autres que moi, qui ne sont pourtant pas spécialement religieux, font la même analyse de la « masquite ridicule aiguë », par exemple ici : https://fr.sott.net/article/35546-Ton-masque-te-rend-haineux-con-pleutre-et-tu-ne-seras-pas-plus-protege

Quels sentiments m’inspirent toute cette affaire, de masque, et de haine et méfiance généralisée de tous envers tous ? Ils tiennent dans une réplique mise dans la bouche de Paul Scofield, l’acteur interprétant Saint Thomas More dans le film Un homme pour l’éternité.  Après avoir expliqué qu’il n’a « rien fait, dit, ni pensé de mal », et voyant que malgré cela les juges à la solde d’Henry VIII le condamnent à mort, il conclut, épuisé :

 

« si cela n’est pas suffisant pour qu’un homme vive, je l’avoue sincèrement, j’ai grand-hâte de ne plus vivre ».

 

S’il faut vivre dans un monde comme celui que les zélites nous préparent, je l’avoue moi aussi, « j’ai grand-hâte de ne plus vivre »; car ceci n’est plus la vie, mais une mort lente, en contraste de laquelle la vraie Vie du Ciel me semble, s’il est possible, encore plus désirable.

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